Demain Samedi 18 mai 2024
En accord avec la gendarmerie
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Départ Argeles 8H30
Maintient de la marche nordique
avec recherche le long du gave
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Commentaire Bernard
J1 : Guara côté sauvage
La première randonnée est au départ de Vadiello. Nous sommes tout de suite dans une ambiance méditerranéenne : les mallos ocres et gris se reflètent dans les eaux profondes du barrage, les multiples romarins et thyms déploient leurs senteurs, et la chaleur, appréciée des nombreux bouquets de cistes roses ou blanches se fait de plus en plus étouffante pour le groupe.
Nous cheminons tranquillement jusqu'aux ermitages de San Cosme/San Damian et leurs dépendances. Puis la pente se redresse fortement pour passer entre les falaises ocres et atteindre le sommet du Mondinero à 1467m.
Après manger nous longeons le bord supérieur de la falaise jusqu'au point de vue sublime où le rio déploie ses serpentins turquoise jusqu'au barrage. C'est l'heure du retour : la journée a été longue et bonne douche, bon repas et lit confortable nous attendent à Las Almunias
J2 : Guara côté touristes
Un violent orage sévit depuis le milieu de la nuit et, un peu inquiets, nous le surveillons tout en dégustant le buffet bien garni proposé au petit déjeuner.
Par chance la pluie a cessé quand nous atteignons Al Qsar "la forteresse", Alquezar, bien connue des nombreux pyrénéens qui s'y rendent.
Nous attaquons le sentier (payant) des passerelles construites au dessus du rio Vero et solidement arrimées à la falaise. Notre boucle nous conduira ensuite du pont de Fuentedebaños au pont de Villacantal en passant par Asque. Aujourd'hui ce sont les hélichryses (immortelles) aux parfums de curry, et les verts différents des oliviers et des amandiers qui agrémenteront la balade.
Au retour, étape à Bierge pour faire provision d'huile d'olive locale. Chacun goûte et choisit sa variété préférée (Verdeña, Alquezrana, Negral ou mélange des trois).
J3 : Du Mascun aux villages abandonnés
Nous partons de Rodellar, la Mecque de la grimpe et du canyoning, montons au milieu des falaises ornées de grottes, d'arches et de rochers aux formes étranges. L'imagination est féconde chez les MA et c'est à qui reconnaitra un Dauphin, un Cochon, la Vierge à l'enfant , Bob Marley et même le sexe des vautours 😉
Arrivés sur le plateau nous serons surpris par la pluie mélée de grêlons (1/4 d'h, la seule du séjour). Otin approche, d'abord son église perchée sur un monticule puis le village proprement dit, dont l'état d'abandon nous attriste. Nous poursuivons vers la Pardina de Villanua, bel abri pour les troupeaux puis vers le joyau du plateau, l'église de Nasarre magnifiquement restaurée.
Retour par le dolmen de Losa de Mora, redescente dans le canyon du Mascun où les grimpeurs s'en donnent à cœur joie. Petite halte, pour tremper les pieds pour certains (voire plus pour une autre) avant le pot réconfortant à Rodellar.
J4 : L'ermitage du bout du monde
Sur le chemin du retour à Argelès, nous avons pour but, l'ancien monastère San Martin Val d'Onsera, niché au creux d'une paroi rocheuse. Pour y accéder il faut d'abord suivre un premier canyon à sec bordé de magnifiques buis qui ne connaissent pas la pyrale et monter par un sentier bien roulant.
ça se corse ensuite, car pour passer d'un canyon à l'autre, nous devons franchir le paso de la Viñeta équipé de câbles aidant à grimper sur la roche taillée en escalier.
La prudence est de mise et notre troupe reste bien concentrée.
Au sommet se dévoile le barranco San Martin, ses murailles impressionnantes et ses fameuses "caméras de surveillance", des dizaines de vautours alignés sur les sommets.
La descente dans ce deuxième barranco est sécurisée par de nombreux câbles.
Nous atteignons l'ermitage, restauré en partie, faisons tinter le belle cloche et déjeunons face à ce décor évoquant les westerns de notre enfance.
Il est temps de reprendre le chemin puis la route du retour en France.
Merci à toutes et tous, c'était stimulant de pouvoir partager avec un groupe bien homogène et dans une ambiance sereine, les beautés de ces petits coins de la Sierra de Guara.
PS : Avant de prendre la route pour Argelès nous avons appris la triste nouvelle de la disparition de Monique C. et nous avons beaucoup pensé à elle pendant le trajet du retour.
Commentaire Rosy
Journée tout à fait à part.....Commentaire tout à fait spécial....
Nous étions 13 marcheuses et 2 marcheurs.
Nous avons fait 10 km en 1h 49 environ et un dénivelé de 150m.
A samedi...
Commentaire Annie
Pour sa première randonnée programmée le 1e mai, en tant qu'organisatrice, Mireille ne fut pas gâtée par la météo et celle-ci fut remise à une date ultérieure, soit aujourd'hui.
Que dire de ce temps ?
Comme nous l'a fait remarquer Mireille dans son mail: "on n'est pas en sucre"
Randonnée maintenue et on verra bien!
Départ de Sassis pour les 10 vaillants montagnards, il faut bien honorer la première sortie de Mireille.
Nous avons de la chance, il ne pleut pas même si les sommets sont dans la brume.
De Sassis, nous montons jusqu'à Sazos par des chemins bien raides, de là nous continuons vers le plateau de Bernazaou menant aux lacs d'Ardiden puis direction l'Agnouede où nous découvrirons les granges d'Armentieou après une longue traversée dans le bois où la pente s'est bien adoucit.
Une des granges est particulièrement bien retapée avec ses toilettes offrant une vue extraordinaire sur la chaîne des Pyrénées 🤩🤩 quand il fait beau 😀🤣.
Pique- nique à l'abri sous l'auvent de la grange où cette fois-ci, nous n'avons manqué ni de café, ni de chocolats 😋.
Si à l'aller, nous n'avons pas eu d'obstacles à surmonter, le chemin du retour fut une aventure digne de "Kolanta" avec même l'épreuve des insectes, les pyrales du buis qui pendouillaient au dessus de nos têtes.
Je ne raconte pas tout, il fallait venir😉
En attendant, Mireille a remporté le totem, ce n'était pas le totem de l'immunité mais plutôt le totem de la réussite pour sa première sortie 👏👏
Merci Mireille pour ta bonne humeur, merci Guy, serre-file et merci à tous les montagnards présents.
Nous avons terminé par un pot à Luz et bien sûr des gâteaux.
Dénivelé 850m cumulé et environ 11kms
Commentaire Annick
Malgré le beau temps de ce matin, peu de participants pour cette séance de marche nordique au Sailhet.
Et c'est peu dire... 3 montagnards seulement... Heureusement 3 vacanciers se sont joints à nous.
5,3 km parcourus gaillardement quand même et dans un cadre toujours aussi merveilleux dans cette plaine du Sailhet.
Lundi prochain, férié mais marcheur tout de même!
A vos godasses donc, les marcheurs, je serai là !
Commentaire Eric B.
"Un épais brouillard couvre le Piémont, mais " à la webcam de Gavarnie, il y a du soleil ". 10 MA ont fait confiance aux MME
Pour la météo ce dimanche, et nous sommes 13 pour monter depuis Soulom au pic du même nom.
De là, c'est quasiment tout droit et la pente est plutôt raide constamment.
La conduite d'eau franchie, nous traversons dans la brume le bois en suivant d'abord le sentier habituel, peu fréquenté mais reconnu, pour le quitter ensuite pour une variante tout schuss " balisée en rouge " .
Entre temps, nous avons franchi la couche,et nous retrouvons à la sortie du bois le soleil au-dessus d'une mer de nuages. La crête escarpée menant au pic est montée prudemment car la roche est friable .
Le sommet est atteint après 3h30 de marche.
Pour se dégourdir, aller-retour au Soum de Sarramouzet et nous casse-croûterons au pic , en contemplant le Viscos qui fait rêver et les sommets aux alentours émergeant des nuages.
La brume commençant à monter , nous descendons par l'itinéraire habituel , ou presque , et retrouvons le ciel bouché de la vallée.
Détour à la Chapelle Ste Aoulerie. Pot chez le chti accompagné de moults pâtisseries. Merci mesdames.
Bilan : 13 MA, 13 kms parcourus, 1395m de dénivelée.
Merci d'être venus à cette belle sortie. Les MME.
Photos Francette Photos Marco Trace interactive Marco à ouvrir avec Chrome
Photos Eric B.
Commentaire Rosy
Un rendez-vous sous le signe du "beau temps chaud" au vu de la longueur des manches des tee-shirts 😉😉😊😊 Vous verrez cela dans le reportage photos.
Après l'échauffement de Philippe, nous partons vers le Château "Miramont" par une grimpette que Philippe ne connaît pas...Vous nous connaissez...
Une bonne traversée du Sailhet (le groupe est super en forme ce matin 👍👍!!!), nous permet d'arriver très vite à la sortie d'Adast pour attaquer la grimpette allant vers le jardin et la piscine du Château Miramont.
Continuant sur le sentier contournant le village, nous arrivons, en contrebas, en face de l'église du village. Un bref arrêt et nous sommes repartis vers St Savin...heureusement "à la fraîche" car il commence à faire vraiment chaud.
Un arrêt pour "la pose", au Panoramique, que vous aurez en photo de groupe et nous entamons le retour vers la plaine.
Retour qui se fait par la traversée de Lau Balagnas jusqu'à l'église côté Argelès. Puis "voie directe" jusqu'au parking.
Boucle de 8 km 800 faite en 1h 31 de déplacement par 8 marcheurs et 18 marcheuses avec 297m de dénivelé cumulé.👏👏👏 Bravo à tout le monde
Commentaire Josiane
Le sentier découverte du Pibeste en boucle : on n’a pas besoin de partir bien loin pour s’émerveiller. C’est ce qu’ont dû se dire les 18 Montagnards encadrés par Marie Rose et Guy Guillaume, serre file, qui se sont baladés ce vendredi sur le sentier découverte du Pibeste. Tout commence comme souvent par un chemin en sous-bois avec ici une fraise, là quelques ancholies et plein d’autres petites fleurs jaunes, blanches, violettes aussi discrètes que jolies et qui nous tairont donc leurs noms. Nous passons devant St Joseph qui veille sur les marcheurs dans son oratoire grillagé et nous nous approchons de la fontaine de Catibère. Ses eaux dormantes reflètent les roches moussues qui l’enferment. Merlin et Viviane se cacheraient-ils par là ? Mais très vite le sentier se raidit sérieusement et passe par de larges schistes abruptes, heureusement sèches ce qui nous évite de glisser … Nous faisons une pause près d’un pupitre illustré qui nous explique que le milan royal aime nicher dans les parages …Et le sentier continue sous les chênes et les noisetiers, vallonnant sans cesse, montant sûrement, parfois descendant … Nous arrivons à l’observatoire de la falaise du Thou, face à ses « gratte-ciel », qui sont le royaume des vautours du Pibeste. 22 espèces vivent là, dont 7 des 13 espèces les plus menacées d’extinction en Europe. Le moment est grave : Christian positionne la lunette et voilà la merveille ! Deux, trois, quatre grands oiseaux aux plumes claires sont là, s’ébrouant en silence et ignorant royalement les voyeurs que nous sommes …Vautours fauves ? Vautours percnoptères ? …Plus haut dans le ciel bleu, des vautours noirs tournoient. Nous prolongeons volontiers ce moment suspendu au ciel et puis ….il faut y aller. Nous reprenons le sentier toujours capricieux, au frais, tandis que nous devinons la chaleur qui monte hors ombrage. D’autres pupitres nous renseignent sur les autres habitants de la réserve : papillons, chauve-souris, salamandres, circaètes Jean le Blanc … Nous prenons la première photo de groupe devant l’arche d’un chêne vénérable qui surplombe la vallée d’Argelès avec au loin le Balaïtous. Et puis c’est la descente, une vraie pour le coup, qui ne remonte pas, sous une futaie où certains flairent en avance les champignons de l’automne prochain. Alors que nous approchons d’Agos et que sonne l’angélus, Marie Rose nous trouve encore frais et dispos et nous propose en bonus le Bousquet : «Dans une demi-heure on y est !» Et on y va…Et encore quelques raidillons, à l’ombre heureusement, et nous y voici. Nous nous installons qui sur des bûches, qui sur les feuilles sèches. L’apéritif est bien mérité ! Seconde photo de groupe avec la tour d’Agos et les montagnes en toile de fond. Puis nous traversons une prairie où les marguerites se perdent dans les hautes herbes et il nous faut remonter sur la route sous le soleil (ouf !) avant de retrouver le chemin ombragé qui nous conduit jusqu’au parking de la Maison de la Vallée. Est-ce que ces «chevaliers du ciel» nous ont donné des ailes aujourd’hui ? Toujours est-il que nous avons été bien vaillants avec 630 m de dénivelé et 8 km ! Mais nous étions bien accompagnés : Merci Marie Rose ! Merci Guy ! Et faut-il l’ajouter ? Merci pour les gâteaux bien appréciés à l’Instant Vert !
Commentaire Rosy
Un ciel bleu sans nuages, le retour de certaines marcheuses (Laurence et Nadine) et... tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes 😉☺😘
Nous voilà partis vers le saut du Procureur pour continuer vers nos fameux "Lapins au Ricard" car Ghyslaine ne les connaissait pas 😳😳😳
Vous nous connaissez...donc....nous y allons!!!... Grimpette, heureusement à l'ombre, vers le quartier de Gez, qui abrite nos "légendes"!!! Vous pourrez les admirer dans le reportage photos
Ceci fait😊😊..., nous partons vers le centre de Gez pour la photo de groupe ....Continuant vers Salles, nous enchaînons avec la descente vers le Bourdalat....la déviation par Ayzac-Ost..... pour rejoindre le chemin du Balandrau.....
Nous négocions quelques virages 😉 entre les touristes en famille ou en sports extrêmes (vélo et marche à pied).!!!...
Retour au parking pour les étirements...
Boucle de 8km 800 faite en 1h 55 au total avec 200m de dénivelé cumulé par 21 marcheuses et 6 marcheurs. A très bientôt 👏👏👏
Commentaire Annie
26 MA sont partis à la découverte du pic de la Gentiane 1713m dans la vallée d'Ossau, vallée que notre GO Ghyslaine affectionne particulièrement.
Cette randonnée est inconnue de la majorité des participants et c'est avec curiosité que nous démarrons depuis Goust, commune de Laruns.
Pas le temps de s'échauffer, ni de se la raconter🤐, les 600 premiers mètres de dénivelé sont redoutables 😛😜😝🤪 jusqu'au col de Lusque.
Ensuite la pente s'adoucit, nous traverserons plusieurs torrents et bois avant d'atteindre le Plateau de Besse et sa cabane.
Le panorama est splendide, le cirque de Besse impressionnant avec ses grottes , la neige tombée récemment embellit les sommets et nous ne regrettons pas les efforts fournis, ça vaut le détour 👍.
Nous continuons vers le col de Besse en traversant de nouveau un bois, puis du col une dernière montée où les gentianes acaules constellent le sol, c'est magnifique 🤩🤩🤩.
Les grandes gentianes ou gentianes jaunes ne sont pas encore en fleurs, il n'y a que les feuilles et on comprend pourquoi ce pic porte ce nom.
Pique-nique au sommet, au soleil😎, avec un belvédére extraordinaire où nous profitons allègrement de cette belle journée.
Ghyslaine donne le signal du départ, il faudra faire attention dans la descente surtout dans le bois, c'est boueux et ça glisse.
Pot aux Eaux-Bonnes où une fois de plus les gâteaux de nos pâtissières n'ont pas fait un pli😋😋.
Un grand merci à Ghyslaine pour cette sortie, quel plaisir !
Merci au serre-file Marco.
Dénivelé 1080m, 13,8kms selon la carte IGN et + 970m par le GPS.
Commentaire Annie
Changement de décor et de département pour 14 MA que rien n'arrête, même pas le risque d'orage prévu en début d'après-midi.
Départ du village de Bézins-Garraux situé en Haute Garonne, dès le début de la randonnée, les falaises du pic Saillant nous font face et sont impressionnantes.
Après avoir quitté la piste, le sentier monte dans le bois, c'est très agréable, la température est idéale et Marc notre GO mène la randonnée à un rythme qui convient à sa troupe 😉😀
La pente se raidit à la sortie du bois pour atteindre le col de Teyech (1460m), il reste en tout et pour tout 22 virages😝😜😛
Nous ferons une petite halte, belle vue sur la vallée et les sommets du Luchonnais puis c'est reparti dans le bois, nous en sortirons pour atteindre un col sans nom indiquant pic du Saillant à droite et pic du Gar à gauche, encore un petit effort jusqu'au pic Saillant où la gigantesque croix apparaît presque au sommet.
Photos du groupe et descente sur le col pour mieux remonter sur le pic du Gar.
En jetant un oeil sur le pic Saillant, nous voyons arriver un groupe de randonneurs bien plus important que le notre et décidons de continuer sur les crêtes et de nous caler un peu plus loin pour le pique-nique au calme..
Après ce moment de détente, de rigolade, de partage (apéro, chocolat, etc..), il nous a manqué le café pour redémarrer du bon pied sur le chemin du retour..
Malgré tout, belle journée, ces deux sommets sont à découvrir ou redécouvrir, le panorama est splendide 🤩🤩🤩
Merci Marc, merci Alfred et merci la compagnie, c'est toujours sympa de randonner avec les montagnards argelésiens 👌👍
Pot au parking qui fut le bienvenu (boissons fraîches et gâteaux à gogo)
Dénivelé 1200m et 14km environ et pas d'orage en vue😂🤣
Commentaire Michelle
Temps maussade encore et toujours. Une petite bruine nous accueille au rendez-vous ou attendent 25 marcheurs dont 4 messieurs
C'est décidé, nous allons dire bonjour à la petite église de Bôo
Nous partons le long du gave, sur la rive gauche jusqu'au pont de fer. Peu de pécheurs, peu de promeneurs, on les comprend !!!!!!
Une petite clarté lorsque nous traversons le pont pour repartir à contre sens sur la rive droite et nous abordons le chemin assez raide qui nous conduit à Bôo, et à sa petite église avec un charmant clocher. Pour le retour, nous rejoignons le pont de Tilhos et terminons notre boucle.
C'est un circuit de 7,5km effectué en 1h55 avec 250m de dénivelé
Commentaire Nicole
Ce premier vendredi de mai nous a conduits, sous la houlette de Martine, sur les pentes du Béout, petit sommet fort intéressant.
Partis du village de Ségus, nous avons emprunté le chemin de Debat-Ségus pour monter sur un sentier bien tracé, d'abord en sous-bois, puis au milieu de fougères et autres buis malheureusement ravagés par les pyrales 😠
Il s'élève au-dessus de Batsurguère, jolie vallée secrète, préservée et ensoleillée, nichée au pied du Pibeste.
Notre organisatrice, qui reprenait aujourd'hui du service après un repos forcé, avait préparé sa sortie de façon magistrale : documents à l'appui, elle nous a montré quelques unes des anciennes carrières de sarcophages qui, à l'époque mérovingienne, ont fait la renommée de ce coin de terre 😉
Le chemin fait place à une belle allée ombragée menant du Gouffre (abandonné) à l'ancienne gare d'arrivée.
Le bâtiment se délabre depuis l'arrêt du téléphérique (en 1986) et est ouvert à tous vents : les murs sont tagués avec plus ou moins de réussite.. les carreaux cassés. Bref, nous ne nous y attardons pas.
Par contre, la vue est époustouflante : la ville de Lourdes s'étend à nos pieds et les montagnes alentour, encore enneigées, rivalisent de beauté et de splendeur.
Nous continuons vers le sommet surmonté d'une croix culminant à 791 mètres : c'est un lieu idéal pour sortir nos victuailles et nous sustenter en profitant du magnifique paysage à 360 degrés sous un agréable soleil.
Des blocs erratiques se trouvent là-haut, transportés par les glaciers qui recouvraient le Lavedan en des époques fort lointaines. Leur équilibre est mystérieux et peut même sembler précaire...
Le retour se fit vers le village d'Ossen, par le chemin du Houssat.
Mais Martine tenait à nous montrer une autre richesse de Batsurguère : les ardoisières. Nous remontons donc sous les flancs du Mail d'Arréou et parvenons à une friche portant encore les stigmates d'une exploitation abandonnée dans les années 60. L'ambiance y est assez étrange et la nature y reprend ses droits. Les photocopies explicatives de notre organisatrice circulent entre nos mains et nous découvrons les anciennes techniques permettant de tailler ces fameuses ardoises qui recouvrent les toits des maisons de nos vallées.
La boucle ramène à Ségus les 39 montagnards qui ont tous acquis de nouvelles connaissances en géologie 😉.
Mille mercis à Martine et à Michel, très efficace dans son rôle de serre-file.
Presque 10 kms et 490 m de dénivelé positif
"En mai fait ce qui te plait" donc comme il a neigé et que la météo semble clémente, voilà 2 MA bien décidé à faire virevolter les spatules. Nous partons donc jusqu'à la station des Espécières et malgré que la route soit dégagée plus haut, nous respectons le panneau ( route barrée). 10 petites minutes de portage où quelques marmottes sentant le primptemps nous sifflent et nous pouvons chausser au départ du télésiège du col des Tentes. Quelques voitures sont garées au plateau de St André, terminus de la route à ce jour.
Déjà pas mal de monde sur le St André, nous optons pour le Pic Entre les Ports 2476m ( port de Boucharo et port Vieux ) qui sera atteint en moins de 2h. Au sommet, comme souvent le vent n'est pas chaud, un selfie des 2 compères du jour et nous attaquons la descente.
Les nuages jouent avec nous, ce qui nous procure des périodes ensoleillées et d'autres moins. La neige est là avec 20cm de neige qui commence à s'humidifier, je la trouve assez bonne à skier mais pour Daniel qui a pris une gamelle dans les premiers virages la descente s'avèrera plus délicate. A partir du lac la neige est plus portante et les virages s'enchainent, il faut être vigilant où on passe mais aucune touchette. Les camions de l'équipement sont en action pour continuer à dégager la route qui monte au col des Tentes. Nous la traversons afin de rejoindre une petite coume encore bien enneigée et trés agréable. Nous continuons sans déchausser jusqu'au au départ du télésiège du col des Tentes puis léger portage et reprise du ski sur un petit rebord de la route qui nous amènera pratiquement jusqu'à la voiture.
Quel changemant de décor, du blanc nous passons au vert 700m plus bas. Des marmottes courent dans tous les sens.
Une bonne journée de ski cloturée par une bière à Gédre, pas belle la vie !!!
2 commentaires
Commentaire Rosy
Matin pluvieux et "douteux"???😒😒😏😏 Lourdes ou pas Lourdes??? En fin de compte, tous les possibles ont été réalisés.
Un groupe est resté dans la vallée d'Argelès et un autre est parti, au Golf de Lourdes, comme prévu (en temps et en heure😉😉) dans le programme ....
À partir du "Practice", nous sommes restés sur le sentier du Tour du Lac en raison de la météo.
D'abord sur la commune de Lourdes, nous longeons le lac et arrivons assez vite du côté de la Tourbière, au fond du Lac, zone protégée pour la faune et la flore locales..
Nous continuons à passer à travers les rares gouttes de pluie jusqu'au pied d'une petite côte, premier point d'arrêt pour s'hydrater et même "tomber la veste"!!!😌😌😉
Nous sommes, depuis un moment, sur la commune de Poueyferré et admirons un pêcheur en plein lac, comme vous pourrez le voir dans le reportage photos....
Encore quelques encablures et quelques souvenirs de jeunesse (et de "boîtes de nuit" 😔😔😔) pour nous retrouver devant le départ du "Tour de Baloum"....
Immédiatement, nous décidons de suivre ce sentier qui nous conduit à un Belvédère avec une vue sur la ville de Lourdes, le Château et les collines environnantes...
Retour sur la route menant au bord du Lac et au restaurant "L'embarcadère", lieu de la photo de groupe ( et d'un arrêt "café/thé" ☺😊)...Tout un programme.....
Boucle pleine d'imprévus de 7 km 600 faite en 1h28 de déplacement par 8 marcheuses et Dominique au masculin.... avec 100m de dénivelé cumulé. À bientôt pour d'autres aventures....
Commentaire Michelle
Le mauvais temps perdure, le ciel est très chargé.
Le programme prévoit un parcours autour de lac et du golf de Lourdes. Dans le groupe les avis sont divers, les "aventureux" qui veulent tenter le déplacement, les "prudents" qui préfèrent rester dans le secteur. Nous faisons 2 groupes
Je reste avec les "prudents" et nous entamons un circuit sans trop nous éloigner
Nous partons par le saut du procureur et rejoignons Gez tout en saluant au passage les "lapins ricard"; Puis une boucle vers le centre équestre du Bourdalat en compagnie d'un petit crachin, avant de rejoindre le Balandrau pour entamer le retour
Une sortie de 8,5 km avec 250m de dénivelé. Nous étions 6 marcheurs dont 2 messieurs
Commentaire Michel
Aujourd'hui 30 avril nous avons enfin pû faire de l'escalade
La pluie nous a fait peur pour aller en falaise
Nous sommes allés à la salle de Gedre
6 grimpeurs étaient présents avec des nouvelles recrues
Trois, nous n'étions que 3 ce matin ! Sortie simplifiée un max donc, échauffement sur les premiers 300m sur la voie verte et pas alerte pour boucler la séance rapidement.... avant la pluie annoncée.
Bilan 5,6km à 6km/h et bruine chopée seulement à l'arrivée. Séance d'1h au total finalement, avec un arrêt près des ânes en plein débroussaillage et une pause hydratation en milieu de parcours du côté de Pierrefitte.
La semaine prochaine je ne serai pas là....
Séance en autonomie à prévoir.
Commentaire Marco
Nous étions 19 à braver le mauvais temps qui en avait incité beaucoup à rester au chaud sous la couette.
Et pourtant au-dessus de la cabane du Cap det Courtaou, le soleil fit son apparition au-dessus de la mer de nuages.
Il faut dire que nous sommes allés le chercher bien haut, car la montée fut rude jusqu'à la cabane.
Mais il en restait encore à grimper et petit à petit la couleur du sol quittait le brun de l'herbe et devenait de plus en plus blanche.
Quelques prises de mains pour passer le Bec et nous voila sur les crêtes pour atteindre le premier sommet, le Cap de Taoula 2239m.
Petite descente vers le col de St Martin 2204m et un dernier effort pour l'arrivée au sommet de la Pène Lounque à 2275m.
Repas de midi au soleil, et oui les dormeurs fatigués, il fallait venir pour admirer la majestueuse chaîne de nos montagnes préférées toute blanche de neige fraîche.
Bon, quand même, nous ne sommes pas restés trop longtemps au sommet, la brume ayant tendance à monter de la vallée.
La descente se fit avec notre classique bonne humeur et c'est avec un grand appétit que nous avons dégusté les gâteaux de nos pâtissières et il y en avait, il y en avait, des gâteaux bien sûr.
Commentaire Michèlle
Les prévisions méteo ne sont pas engageantes. Seul un petit groupe est présent au rendez-vous, 6 marcheuses. Il est bien connu que les femmes sont plus déterminées..;!!!
Il ne pleut pas mais le sol est assez mouillé. Nous partons par la coulée verte. A Lau Balagnas toujours pas de pluie, nous prenons les chemins à travers champ pour rejoindre Adast
A Adast un rayon de soleil et un grain d'euphorie nous propulse vers Le Cassiet petite colline qui nous offre un beau panorama sur la vallée. Puis retour vers la coulée verte pour continuer jusqu'à la gare de Pierrefitte
La pluie nous préserve toujours, le sol s'est même un peu asséché, nous rentrerons donc par le Sailhet
C'était assez improbable, mais nous avons pu effectuer le périple en entier soit 10km et 150m de dénivelé
A bientôt Michelle
Commentaire Josiane
Les voilà les 7 cols : Couraduque , La Serre , Bazès , Berbeillet , Cantau , Soum , Mauben !
L’aventure commence donc à Couraduque pour 23 Montagnards qui s’élancent allègrement sur la piste «raquettes» bien connue aussi par les amateurs de cèpes .Très vite nous arrivons à La Serre . Et nous continuons, toujours sur la piste qui passe sous les sapins, avec ici et là des touffes de fougères gisantes, rouillées par le gel .
Voici le col de Bazès. Le paysage s’élargit : pentes boisées vers Ferrières, sommets encapuchonnés de neige face à nous. Le pic de Bazès,ce sera pour une prochaine fois...Mais déjà des yeux affûtés repèrent quatre, cinq isards sur des morceaux de pelouse entre les roches.
Pour atteindre le col du Berbeillet nous suivons un petit sentier qui traverse les estives et soudain le brouillard qui rôdait surgit comme un voleur et emporte les montagnes. Tout en bas les toits du Val d’Azun brillent encore au soleil ..
Marie nous guide ensuite sur le GR 10, accroché à la pente, étroit, surplombant les prairies des Artigaux, les villages de Marsous, Arrens. C’est très beau !
Et par des pelouses piquetées de gentianes au bleu intense au arrivons au col de Cantau et sa jolie cabane de rondins délavés par le temps .
Marie nous entraîne alors sur une «grimpette» pour nous rappeler que nous sommes des Montagnards et non pas des promeneurs «plan plan»….Arrivés sur la crête, nous plongeons (du regard) sur le lac de Soum et le col que nous rejoignons vite.
Et le dernier col, c’est Mauben qui malgré son nom qui signifie Mauvais Vent nous accueille aimablement.Un rayon de soleil nous permet même de faire la photo de groupe .
Pour le casse-croûte nous redescendons au lac de Soum où des canards infatigables tracent des V lumineux sur l’eau tandis que le cie , lui ,se couvre de nuages. Nous prenons le temps d’apprécier les gourmandises salées, sucrées, alcoolisées de rigueur mais nous ne traînons pas.
«Pas de sieste» décide Marie .
Nous regagnons Couraduque par la piste, d’un pas soutenu …La pluie nous rattrape de temps à autre mais jamais ne nous devance. Et c’est bien secs et le cœur joyeux que nous nous nous attablons au bar de la station.
Entre les chouquettes de Jannick et la tourte de Gilles nous précisons l’aspect «technique» de cette belle journée : 466m de dénivelé et 15 km, quand même!
Merci Marie! Merci Yves!
Commentaire Philippe
Il y a affluence ce matin sur le parking des anciens combattants. 28 marcheurs sont prêts à en découdre avec le froid vif et les exigences techniques de la MN pour le plus grand bénéfice de leur condition physique.
Ce matin le parcours emprunte les chemins qui mènent à la tour de Vidalos. Le rythme est soutenu mais le groupe reste bien soudé, le résultat sans aucun doute d'un niveau physique qui progresse de séances en séances.
La montée jusqu'à la tour est une formalité. Il s'en est fallu de peu pour que nous tombions sur une équipe de tournage. En effet la veille Jocelyne nous informe que des scènes d'un film (en costumes féodaux) ont été tournées au pied de l'édifice. Peut-être ce film va t'il conter les aventures extravagantes d'Arnaout du Lavedan ?
De rapides et prudentes traversées de la RN 21 nous permettent de monter dans le bois du Bousquet, de revenir sur les chemins de la plaine, de bifurquer vers le village d'Ayzac, pour retrouver notre cher Balandrau et enfin les toilettes publiques de la mediathèque qui, au grand soulagement de certains, annoncent que cette sortie, bien agréable, est arrivée à son terme.
Samedi la météo qui est prévue ne devrait malheureusement pas nous permettre d'effectuer notre sortie au Hautacam.
Quoi qu'il en soit, une décision sera prise demain et elle sera communiquée, avant 18h00, sur le site des Montagnards.
Bonne fin de journée et à très bientôt.
Commentaire Annick
"En avril ne te découvre pas d'un fil".... vérifié encore ce matin, où les gants et les blousons n'étaient pas de trop !
J'ai hésité à faire les arrêts de petits exercices de musculation que j'avais prévus dans le programme de ce matin ; mais finalement, au soleil et après avoir marché gaillardement à 6km/h et s'être bien réchauffés, nous avons pu intercaler 2 petites séquences de musculation (un bien grand mot !) dans notre parcours au Sailhet.
C'est distrayant, amusant même ! 5,350km en 52 minutes et une séance pile poil de 1h30, avec l'échauffement, la musculation et les étirements.
A priori, lundi prochain, marche avec du fractionné en montée.
